Après un refus d’obtempérer à Nanterre, ayant entraîné la mort d’un jeune homme, une véritable guérilla urbaine a éclaté dans différentes communes du pays. Ces 5 nuits d’émeutes ont déjà dépassé, en termes de violences contre les forces de l’ordre et contre les bâtiments de l’État, les 3 semaines d’embrasement de 2005.
En jetant en pâture la réputation d’un policier, sans attendre le déroulement de l’enquête judiciaire, le président de la République a failli à son rôle de garant des institutions. En appelant à l’émeute et au désarmement de la police, la gauche NUPES entretient un climat de violence, et devient plus que jamais un véritable danger public pour nos institutions et pour la paix civile.
Rien ne peut justifier les incendies d’écoles, de transports publics, de commissariats, de mairies, les pillages de commerces, les vols de véhicules et les agressions contre des policiers et des pompiers. Ceux qui commettent ces violences n’ont rien d’ange ou de victime : ils sont des voyous qui doivent être traités comme tels et punis.
Instauration de peines planchers, expulsion systématique des délinquants et criminels étrangers, fin de l’impunité judiciaire, maîtrise de l’immigration, suspension des allocations pour les familles de délinquants multirécidivistes et lutte implacable contre les trafics : il faut un véritable sursaut sécuritaire pour rétablir l’ordre en France. Le pouvoir macroniste n’en a ni la volonté ni le courage : nous le ferons.