Alors que le bal de l’hiver battait son plein à Crépol, petit village de 500 habitants dans la Drôme, une bande de cité s’est livrée à l’horreur. Armés de couteaux, remplis de haine, ils ont semé la terreur, frappé au hasard, gratuitement, avec la volonté de blesser, de tuer, ôtant la vie à Thomas, jeune rugbyman de 16 ans.

Comme tant d’autres avant lui, ce drame insupportable nous attriste et nous révolte. À chaque fois : la même barbarie, les mêmes individus, les mêmes indignations, les mêmes faits, et la même inaction gouvernementale.

Les Français ne sont pas condamnés à côtoyer des barbares, qui viennent pourrir leurs fêtes, gâcher leurs matchs de football ou de rugby, qui leur interdisent l’accès à certaines rues à certaines heures. Il est de notre devoir de refuser cette terreur du quotidien, qui réduit nos libertés par l’intimidation et la violence.

Il est possible de rétablir partout la tolérance zéro, et condamner ces barbares à des peines lourdes.

Il est possible de contrôler drastiquement l’immigration, pour ne plus laisser entrer chez nous des individus sans aucune limite morale, qui ont la haine de tout ce que nous sommes.

Il est possible de suspendre les allocations familiales pour les mineurs récidivistes et d’arrêter de payer le confort de ceux qui détruisent des vies.

Il est possible d’expulser les délinquants et criminels étrangers qui n’ont rien à faire sur notre territoire.

Justice pour Thomas. Nous pensons à sa famille, comme à celles de tous ses amis blessés dans l’attaque de Crépol.