Confronté à l’ensauvagement d’une partie de la jeunesse, Gabriel Attal n’a rien proposé qui puisse réellement faire face à ce phénomène : ni les « stages de citoyenneté » proposés aux parents de délinquants dont la carence éducative est manifeste, ni les “cours d’empathie” ne permettront de lutter contre la montée inédite des violences qui frappent la société française.

Incapable de briser la mécanique du déni qui empêche de regarder lucidement la réalité, le gouvernement se condamne à l’impuissance, et condamne les Français à subir. Face à cet ensauvagement, l’heure n’est plus à la faiblesse mais à la fermeté et à l’autorité.

En suspendant les allocations familiales pour les familles de délinquants et en interdisant l’accès au logement social pour toute personne avec un casier judiciaire. Il n’y a aucune raison pour que la solidarité nationale bénéficie à des individus qui ne respectent aucune des règles de la vie en société. Face à la récidive, nous généraliserons les centres éducatifs fermés pour mineurs et nous rétablirons les peines minimales pour contraindre le juge à prononcer des condamnations dissuasives. Avec nous, l’État sera systématiquement du côté des professeurs et des fonctionnaires de police, dont l’autorité sera rétablie.

Enfin, parce que la violence des mineurs est aussi liée à une politique migratoire totalement dérégulée, nous retrouverons la maîtrise de l’immigration et nous expulserons les délinquants et criminels étrangers.

Face à un gouvernement enlisé dans l’angélisme et l’aveuglement, nous proposons la seule solution qui vaille pour rendre aux Français leur sécurité et leur tranquillité : la fermeté, encore la fermeté, toujours la fermeté !