Incendie criminel de la synagogue de la Grande-Motte, motard de la police municipale gravement percuté en Seine-et-Marne, refus d’obtempérer qui a conduit au décès tragique d’un gendarme dans les Alpes-Maritimes : nous ne sommes pas face à de simples « faits divers », mais face à une barbarie d’atmosphère qui s’étend sur tout le territoire.

À La Grande Motte comme dans le drame de Mougins, le mis en cause est un étranger, déjà connu des services de police pour des faits de délinquance, et pourtant toujours présent sur notre sol. Les mots bouleversants de l’épouse du gendarme tué ont ému tous les Français.

Alors que la France navigue à vue, sans gouvernement depuis plus de 40 jours, paralysée par Emmanuel Macron et ses alliances indignes avec le Nouveau Front populaire aux dernières législatives, j’appelle à une prise de conscience collective.

Le Président doit convoquer une session extraordinaire à l’Assemblée nationale, pour débattre d’une grande loi de sursaut sécuritaire.

L’expulsion des délinquants et criminels étrangers doit être systématique, car il est inadmissible qu’un étranger qui représente un danger puisse se maintenir chez nous et menacer les Français. Pour en finir avec le laxisme judiciaire, les peines planchers et les peines minimales doivent être immédiatement rétablies.

Ce n’est plus la violence, la peine et la peur qui doivent gouverner la rue : c’est l’ordre, la paix, la République française qui doivent reprendre le dessus.